En tant que medium, je me suis trouvé en prise avec le bas astral plus d’une fois, mais l’experience que je relate ici reste l’une des plus impressionnantes et marquantes de ma vie.
Ma rencontre avec le Bas Astral
Il y a quelques années, je rentrais de week-end chez des amis en Bourgogne, j’arrivais chez moi affamé après plusieurs heures de route en pleine nuit. Je devais me préparer un repas au plus vite. Mais en passant le pas de la porte de mon appartement une vague de chaleur puissante et inattendue me submergea comme s’il y avait le feu chez moi. Cela m’inquiéta tout d’abord, mais je compris bien vite que ce feu venait du bas astral. J’entrai immédiatement en état d’alerte. J’avais tellement chaud que je dus me déshabiller et c’est précisément à cet instant que je sentis très clairement une masse énorme et infernale se poser lourdement sur moi ! Je me sentais écrasé, j’étouffais complètement. J’étais à terre, réduis a l’impuissance, quand je compris que ma seule issue était de reprendre très vite le contrôle en appelant mes guides-protecteurs. Une bête colossale était littéralement assise sur moi, invisible certes, mais son poids ne l’était pas ! Je la sentais pleinement satisfaite de m’écraser et de me faire suffoquer ainsi. Mes guides ne tardèrent pas à intervenir et leur énergie fit fuir l’entité abjecte.
Au sortir de cette lutte, je me retrouvai totalement exténué, malgré l’aide des anges venus à ma rescousse. J’étais sans vie me trainant à terre comme un soldat blessé et il me fallut aller chercher au fond de moi d’ultimes ressources pour parvenir à la cuisine afin d’y boire un verre d’eau. Reprenant progressivement mes forces, je mis tout mon courage dans mes gestes de survie, mordant dans une pomme dont je sentis les substances vitales s’écouler en moi.
Il me fallut bien deux heures pour reprendre mes forces. Ma seule envie fut alors de quitter l’appartement pour trouver refuge dans un bois tout près de la maison. La fraicheur de la nuit et le calme du lac me rendirent ma paix intérieure. Je priai et remerciai de tout mon être mes guides qui étaient intervenus a mon premier signal et m’avaient sauvé de ce monstre invisible tout droit sorti du bas-astral.
Monde invisible et bas astral
Le monde invisible est multidimensionnel : sur le plan physique, c’est le royaume des bactéries et des microbes. Sur le plan énergétique, là c’est le grand inconnu. Certains l’appellent la dimension éthérique ou encore l’astral et tout ce que l’on sait c’est qu’il semble y avoir au moins 2 dimensions : le bas astral et la dimension supérieure, dite divine ou céleste. Tandis que le monde « invisible » des bactéries a été découvert par Pasteur au XIXème siècle, l’invisible éthérique quant à lui nous est complètement inaccessible, à moins d’être médium ou sous l’effet d’une substance psychotrope. L’ennui c’est que peu après la découverte de Pasteur, la science et la médecine se sont rapidement imposées en autorités absolues, balayant les connaissances et l’intérêt que les Hommes portaient auparavant à l’éthérique, dimension pourtant fascinante et fondamentale. Progressivement nous avons perdu un savoir précieux et les clés de nombreux maux de l’être humain, qu’ils se situent sur le plan physique, mental, psychologique ou émotionnel, puisque ceux-ci prennent bien souvent racine sur le plan énergétique ou sont causés par des perturbations du bas astral.
Connaître le bas astral pour comprendre le monde
À l’époque où l’on faisait tourner les tables (19ème siècle), la société occidentale s’intéressait de très près à tous les phénomènes occultes et paranormaux qu’elle essayait activement de comprendre. Le spiritisme battait son plein* partout en Europe et toute l’attention humaine était tournée vers l’Invisible : les agriculteurs tentaient de décrypter les astres pour prévoir les moissons, les hauts fonctionnaires de l’administration consultaient les mages pour prendre la bonne décision, les médecins conjuguaient leur savoir à la science de l’invisible pour améliorer leurs prescriptions, et les philosophes prenaient pour guide la sagesse des anciens pour avancer dans la connaissance de soi et du monde. L’invisible avait alors une place prépondérante dans la vie de tous les jours. Il influait sur la destinée du pays. L’avenir de la nation se dessinait dans les salons où des « esprits » de l’au-delà s’invitaient pour animer des soirées riches en émotions. Rien de plus normal alors que de faire appel à l’avis d’un voyant, de consulter pour se libérer d’une entité ou encore de purifier sa maison des mauvais esprits.
*Je n’encourage pas la pratique du spiritisme sans être guidé et protégé (voir mon article sur les esprits usurpateurs en lien au bas de cet article)
Comment le bas astral est devenu tabou
Comme vous le savez, la référence au bas astral déclina rapidement au XXème siècle jusqu’à devenir un parfait tabou. Peu à peu, les pays qui forment aujourd’hui l’Union Européenne se tournèrent vers l’industrialisation puis vers la consommation de masse qui donna naissance au modèle actuel, l’ultra libéralisme. Une société nouvelle vit le jour, bâtie sur le rationnel et le matérialisme, dans laquelle la connaissance du bas astral fut bientôt totalement évincée, méprisée et raillée. La connaissance du bas astral par les anciens devins se perdit et toutes ces connaissances devinrent finalement des vérités interdites, inaccessibles. Ce qui donna lieu, ces trente dernières années à une prolifération de pseudo connaissances farfelues, souvent aberrantes, avec le regain d’intérêt grandissant pour le bas astral.
Lentement mais sûrement la société hédoniste et consumériste détrôna ces savoirs, croyances et pratiques ancestrales… notamment en ville, où l’on se prit de passion pour les inventions technologiques en tout genre (avions, téléphone, ordinateur, internet etc…), le confort domestique et le bien-être. Mais elles demeurèrent relativement vivaces dans les campagnes, où elles survivent encore aujourd’hui. Partout ailleurs, ce fut la grande victoire du « progrès » : l’Homme parvenait enfin à soumettre le monde de la matière à ses désirs et à son plaisir. La France devint laïque au début du siècle passé, les guerres mondiales accélèrèrent la productivité et les années 60 démocratisèrent l’hédonisme de masse à tel point qu’il ne fut bientôt plus question que de cela. Pour finir, les téléphones portables, miroirs portatifs de notre égo, enracinèrent dans nos consciences l’idée que nous sommes définitivement le centre de l’univers.
Mais ce n’est pas le cas.
Grâce à toute cette reprogrammation de l’être humain, des milliards de personnes passent aujourd’hui leurs journées à trouver le moyen de satisfaire leurs besoins, ambitions et désirs les plus intimes, en faisant entièrement abstraction de la réalité qui les environne. Mais ne vous y trompez pas, les entités issues de la dimension invisible sont quant à elles, aussi actives et vivaces qu’aux siècles passés. Elles n’ont disparu que de nos consciences. L’Homme a simplement détourné son attention, c’est tout. La faune du bas astral est toujours aussi etroitement liee à notre quotidien, elle y joue même un rôle primordial.
Le bas astral est la clé
Étant médium depuis mon enfance, j’ai toujours eu accès au bas astral mais aussi à la dimension supérieure, surtout après le long parcours de libération, de purification et de guérison que j’ai suivi. Je suis d’ailleurs devenu, au terme de mon initiation, médium de certaines entités célestes extrêmement éclairées, aussi savantes que bienveillantes. J’ai notamment été contacté pour la première fois par une entité reptilienne d’une profonde intelligence qui est devenue mon enseignement spirituel depuis de nombreuses années. J’ai donc accès aux vérités cachées de l’astral depuis longtemps déjà, que ce soit en vivant moi-même des interactions avec ces dimensions, ou en vivant des expériences initiatiques et chamaniques, ou encore grâce aux enseignements reçus de mes guides.
Durant mon enfance, je fus bien souvent bouleversé de ces contacts avec le bas astral. Cette faune éthérique était bien présente, surtout la nuit où elle se manifestait beaucoup plus car la lumière du jour lui était intolérable. Le passage dans notre monde se faisait plus facilement dans l’obscurité. L’enfant que j’étais avait peur de ces entités qui n’étaient pas clairement identifiables. Nous avons tellement besoin d’étiqueter et de contrôler ce qui nous entoure, il faut dire aussi que nous sentons leur fourberie ! Mais ce monde là nous échappe totalement. Alors nous préférons l’ignorer, le fuir ou recourir à des tours de passe-passe qui ne fonctionnent pas toujours. Les gens préfèrent croire que le « mal » n’existe pas et que tout ceci ne sont que superstitions ridicules. Comme c’est pratique et puérile.
Se libérer d’une entité négative
Aujourd’hui, grâce à mon activité de medium et chamane, combien d’hommes et de femmes sont venus à moi pour se libérer d’une entité négative, affreusement embarrassés par l’entité qu’ils croisent dans leur miroir et qui se surimpose à leur propre visage ! Combien de patients nous ont confié ne plus pouvoir dormir la nuit parce qu’ils étaient agités par des transes furieuses qu’ils ne contrôlaient pas. Combien d’entités puissantes n’avons-nous pas nous-mêmes affrontées pour passer les portes, bousculer les frontières, les limites du possible, et rencontrer les vérités du monde invisible, dimension que nous connaissons aujourd’hui parfaitement bien. Car en définitive, c’est bien de cela dont il est question : élargir le champ de notre conscience et de nos possibilités.
Pourquoi vous n’arrivez pas à vous libérer d’une entite
Nous avons réalisé Iori et moi au fil du temps que le pouvoir s’est déplacé vers l’Ego et la matière. L’Homme y a trouvé les clés de sa propre prison dorée, il est désormais retenu captif dans son royaume égocentrique et narcissique. Mais en se limitant à ce sanctuaire de l’illusion et du fantasme, il a perdu la notion du « sublime » et du sacré. Il a donc perdu son accès à la connaissance sacrée et le pouvoir de se libérer. Aujourd’hui, la néo spiritualité (new-âge) est elle-même au service des fantasmes des Narcisses modernes. Le new-âge ne donne à l’Homme que ce qu’il veut voir et ce qui lui fait plaisir. Mais plus Narcisse se contemple dans l’eau, plus il augmente ses chances de tomber et de se noyer. L’Homme actuel, jouisseur invétéré, est tombé amoureux de lui-même et se laisse mourir de langueur et d’auto satisfaction.
La connaissance de l’invisible pour guérir et se libérer
À l’opposé, grâce à la connaissance de l’Astral, nous pouvons trouver une voie de connaissance qui multiplie le champ des possibles, qui bouscule notre mental figé, et nous découvrons alors un monde dynamique et infini. Car le monde de l’invisible est je le répète, plus riche, plus profond, plus complexe et plus extraordinaire que le nôtre. Nous pouvons le diaboliser, l’ignorer ou le fuir, mais pendant ce temps, il poursuit son œuvre éternelle : il est le socle fondamental sur lequel nous bâtissons nos existences et notre vie quotidienne. Et tout découle de lui, y compris notre santé. Car qu’est-ce que la maladie, le déséquilibre, la dépression au fond, si ce n’est que l’expression de cette architecture énergétique ? C’est le signe que notre conscience, notre esprit, notre corps, notre coeur nous échappent, c’est le signe que la porte vers cette dimension s’est belle et bien ouverte… Notre psyché est la clé qui nous donnera accès à la connaissance du bas astral et de l’invisible pour nous libérer et guérir. Mais encore faudra-t-il utiliser la bonne serrure !
Il n’y a qu’une main avertie pour vous tendre la bonne clé qui correspond à la bonne serrure 🙂 Nous vous y invitons en rejoignant les formations initiatiques Omniscience, qui réunissent toutes les connaissances médiumniques majeures sur la dimension invisible dont vous avez besoin pour vous libérer et guérir.
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Ganji Anankea, medium, fondateur du Parcours Anankea et des formations initiatiques Omniscience
Enseignement, Médecine énergétique, Santé corps et esprit,
Bas Astral, Entité, Médium, Occulte
