Santé corps et esprit

Les miracles de la chirurgie énergétique

Et s’il était possible de détecter un noyau cancérigène avant même qu’il ne se déclare ? De traiter une infection grave sans anti-bios ? D’observer de l’intérieur de votre corps les tissus, bactéries et cellules en causes ? Sans incision, sans chimio, sans douleur ni effusion de sang ? Impossible, n’est-ce pas. Voici pourtant trois exemples de chirurgie énergétique qui risquent de vous faire changer d’avis.

La chirurgie énergétique : comment cela fonctionne ?

La chirurgie énergétique ressemble en tout point à la chirurgie conventionnelle à l’exception qu’elle ne requiert aucun bistouri ni appareil de pointe. Elle intervient de façon totalement non invasive dans le corps énergétique, aussi appelé corps subtil ou éthérique. Pourtant, cette méthode est capable de diagnostiquer et de traiter n’importe quelle maladie. Elle peut débusquer tout élément pathogène dans le corps, aussi microscopique soit-il, et le neutraliser avec exactitude afin de résorber la maladie. La chirurgie énergétique est capable de pénétrer à l’intérieur même des cellules, si celles-ci sont malades, pour procéder immédiatement à leur assainissement et à l’extermination du fautif. Elle passe au scanner tous les tissus endommagés et sains et va au bout de l’opération en débusquant l’élément malin qui est à l’origine de la maladie. Et pendant tout ce temps, vous êtes aux premières loges. En effet, elle vous montre tout ! Cette médecine va plus loin que la guérison, elle nous instruit sur les causes premières de nos maladies et nous découvrons, ahuris, les multiples formes que celles-ci peuvent prendre ainsi que l’implication fondamentale de notre corps énergétique dans la formation des maladies. C’est difficile à croire et pourtant bien réel comme en témoignent les trois exemples ci-dessous, tirés de mon propre vécu.


Cas clinique nº 1 : Extraction d’un implant éthérique

Une nuit au printemps 2008, je suis endormie profondément dans mon lit lorsqu’une voix douce me tire de mon sommeil. Je continue de dormir mais ma conscience est, elle, bien réveillée. Je discerne une silhouette masculine et un visage bienveillant, deux autres hommes sont à ses côtés. Je suis sur une table d’opération, partiellement dénudée. Mes vêtements ont été relevés au niveau de mon ventre. Je ne ressens aucune peur car ces présences amicales respirent la bienveillance et me sont familières. L’être qui m’a réveillée m’expliquent qu’ils vont devoir pratiquer une incision dans mon ventre pour retirer un corps étranger. Instantanément ma conscience se déporte sur mon abdomen et zoom sur l’opération. Je vois mon corps en transparence, il est translucide. J’observe attentivement la présence d’un organisme étranger vivant de couleur bleue fluorescente à l’intérieur de mon bas ventre. À nouveau ma conscience se retrouve au dessus de la table d’opération, je vois l’homme pratiquer une incision avec précision et lenteur, un autre extrait le parasite de l’abdomen. On me le montre : à nouveau zoom sur la créature. Puis mon ventre est réparé en quelques instants. Je ne sens absolument aucune douleur. Ils m’expliquent qu’il s’agit d’un « mouchard », un implant éthérique introduit en moi lors d’une relation sexuelle afin de me contrôler. Je suis stupéfaite. Satisfaits, mes trois amis me regardent, je leur suis profondément reconnaissante et soulagée… Je me rendors.


Cas clinique nº2 : découverte d’une lésion interne microscopique

J’ai commencé à souffrir de troubles uro-génitaux à l’âge de 17 ans. Comme beaucoup de femmes, je ne quittais jamais ma bouteille d’eau et me forçais à boire 2 à 3 litres d’eau au moment des crises. Je ne sortais jamais sans quelques comprimés rouges ou bleus qui me sécurisaient mentalement car ils étaient censé aseptiser la zone et enrayer le développement de bactéries infectieuses. Seulement, mes cystites ne se présentaient pas tout à fait comme les cystites habituelles. Je n’avais pas de fièvre, pas de brûlures intenses et les symptômes revenaient très fréquemment, elles étaient systématiquement déclenchées par la fatigue, les chocs émotionnels, le stress. Voici ce que je ressentais : sensation de distension dans la région de la vessie avec douleur ciblée (un point précis me lançait), souvent accompagné d’une sensation de brûlure, douleurs inflammatoires de l’urètre et des parties génitales, envie d’uriner fréquemment sans réel besoin. Lorsque je faisais des analyses cliniques, on ne rencontrait jamais de bactérie et d’infection avérée. C’était un mystère. Pendant des années j’ai pris mon mal en patience et, résignée, je me suis habituée à boire constamment pour prévenir les crises et à me traiter avec des huiles essentielles. Évidemment j’avais laissé tomber les visites régulières chez le médecin qui devenaient une routine aussi grotesque qu’inutile.

Un soir cependant, je découvris l’origine de mon mal de façon tout à fait inattendue et je dois dire, spectaculaire. Je me trouvai dans l’appartement de mon compagnon Ganji et nous recevions une patiente qui devait prendre une plante sacrée chamanique pour traiter une problématique spécifique. Cela faisait déjà 2 ans que je connaissais et prenais régulièrement de l’Iboga (1) pour traiter mes accès migraineux et une fibromyalgie invalidante (je traiterai le sujet dans un prochain article). Pour accompagner notre hôte, Ganji et moi prîmes chacun une cuillerée du Bois Sacré réduit en poudre. L’effet ne se fit pas attendre ! Au bout de quelques minutes à peine je fus happée à l’intérieur de moi par le faisceau lumineux de l’Iboga qui avait immédiatement détecté la douleur irradiant dans ma vessie : ma conscience prit une sorte de toboggan et dégringola de façon vertigineuse jusque dans ma vessie. Je vécus un zoom en accéléré. Je vis alors une sorte de fissure dans laquelle fourmillait de microscopiques insectes noirs, instantanément je sentis que tout cela n’était pas bien sain. Il s’agissait en effet de bactéries infectieuses, celles-ci s’activaient autour d’une lésion microscopique que je vis pourtant très clairement. J’avais le droit à un agrandissement de la micro plaie qui se trouvait à l’intérieur de ma vessie, le fameux point qui me lançait et déclenchait mes troubles uro-génitaux depuis des années. Je n’en revenais pas. Un flash lumineux puissant irradia soudainement la zone infectée, je vis une nuée de micro insectes noires s’élever et s’évanouir aussitôt dans les airs. Cette opération assainit la plaie et lui permit de trouver le chemin de la cicatrisation.


Cas clinique nº3 : infection gastro intestinale sévère

Voici le cas le plus complexe et le plus édifiant.

Symptômes

Durant plusieurs semaines, j’ai subis de graves perturbations de la digestion et du transit. Je ressentais au niveau de l’estomac une sensation désagréable de distension et après chaque repas, aussi frugal soit-il, j’avais le droit à ce cortège de symptômes : nausée, sensation d’intoxication alimentaire, extrême fatigue, difficultés à digérer, torsions de l’estomac bientôt suivies de spasmes intestinaux violents. La nuit j’étais fréquemment réveillée par une douleur fixe avec sensation de brûlure dans une zone précise de l’estomac. La journée j’avais de fréquent maux de tête et montées subites de fièvre.

Parcours médical

Mon premier réflexe fut évidemment de me mettre à la diète. Je supprimais tous les aliments susceptibles d’alimenter une infection et buvait beaucoup d’eau. J’utilisais notamment l’eau argileuse qui m’a souvent permis d’enrayer les premiers signes d’intoxication alimentaire ou de gastro entérite. Mais cette fois-ci ça ne fonctionnait pas. Les premiers jours je ressentais une nette amélioration puis les symptômes revenaient en force. Je pris peur et décidai de consulter un médecin. Celui-ci conclut à une gastro-entérite et me prescrit une diète ! À base de riz, carottes cuites, pommes au four et bien sûr… de beaucoup d’eau. Avait-il bien entendu que je traînais ce problème depuis des semaines déjà et que je j’avais déjà tenté la diète ? Évidemment il prit très mal mon insistance et déclara : « si ça ne passe pas dans 3 ou 4 semaines, nous ferons des examens ». Trois ou quatre semaines ! Je n’allais pas attendre si longtemps, que mon état se dégrade encore plus. Je pris pendant 1 semaine un antibiotique intestinal que la pharmacienne voulut bien me vendre mais cela ne régla pas le problème.

Je repris ma diète de façon drastique cette fois sans plus d’effets et 10 jours plus tard, j’allai consulter un autre médecin. J’avais au préalable fais des analyses qui n’avaient rien donné, j’étais donc décidée à me faire prescrire une endoscopie digestive (2) : l’exploration de mon œsophage et de mon estomac par une caméra. Mais celui-ci refusa tout net et me prescrit de l’Omeoprazol, un médicament destiné à calmer la nausée et les remontées alimentaires, sans se soucier de rechercher la cause de la maladie. C’en était trop. Je résolus d’employer les grands moyens, j’allais recourir au seul traitement réellement efficace et intelligent que je connaisse : l’Iboga.

Traitement à l’Iboga

Peu de temps après l’ingestion de la substance, je sentis un vrombissement léger dans mon estomac, l’esprit de la plante était déjà à l’œuvre ! Il ne fallut pas longtemps pour que les visions commencent. Avec amusement, la plante me dit : la voilà ton endoscopie ! Ni une ni deux, ma conscience se retrouva dans mon œsophage et je pus discerner très nettement à mesure que nous descendions vers l’estomac les parois endommagées par l’infection : des sortes de papules (2) étaient bien visibles. Je me retrouvais alors dans l’estomac et la première chose que fit la plante c’est de foncer vers une colonie de bactéries qu’elle irradia immédiatement de sa puissante et intraitable énergie guérisseuse. Les examens n’avaient pas réussi à révéler la présence de bactéries infectieuses et pourtant je les avais toujours senties. À présent j’en avais le cœur net. La plante m’en montra bien d’autres encore, je discernais différents groupes de bactéries qui n’avaient pas la même physionomie en fonction des zones inspectées. Je ne m’attarderai pas ici sur les détails de toute l’opération car celle-ci fut particulièrement longue et exhaustive. En effet, différentes zones de mon estomac et de mes intestins étaient atteintes. Il fallut donc tout passer au crible minutieusement. En revanche j’aimerais souligner deux aspects qui ont fortement retenu mon attention lors de ce périple au cœur de l’infinitésimal.

Un bactérie perverse qui fait muter les cellules saines

L’agrandissement de la zone inflammée de l’estomac dont les irradiations me réveillait chaque nuit me laissa bouche bée. Au lieu de voir une paroi lisse et rouge je vis que la surface avait muté : des boules de chair à picot s’étaient formées. C’était là l’origine de la sensation de gêne et d’inflammation persistante, la raison pour laquelle chaque repas se transformait en supplice. La plante envoya un « laser » extrêmement puissant et précis sur la zone et je vis les formations malsaines voler en éclat. En quelques secondes, la zone fut entièrement rasée et assainie, bien entendu cette opération chirurgicale allait laisser les tissus meurtris et j’aurais besoin de quelques jours pour cicatriser. Mais je ne ressentis sur le moment aucune douleur si ce n’est un immense soulagement et une reconnaissance infinie.

L’origine de l’infection : un parasite éthérique

Lorsque la plante eut terminé de scanner et de traiter toutes les zones infectées, elle s’arrêta un instant. Un silence s’installa subitement. Intriguée, je compris que le clou du spectacle n’était pas loin. Silencieusement, l’esprit de la plante se déplaça lentement en direction d’un point ciblé et j’aperçus bientôt la physionomie fort vilaine d’un parasite insectoïde dont le regard était emprunt de malice et de malveillance. La plante zooma sur sa trompe : pareil à un moustique, cet individu possédait un dard très long dont l’extrémité était plongée dans les tissus de mon estomac. À travers lui, celui-ci déversait sournoisement une substance malsaine qui générait et entretenait l’infection. Voilà pourquoi tous les traitements avaient échoué. Celui-ci était tranquillement en train de m’incuber la mort. Ainsi démasqué et irradié d’énergie, le parasite fut bientôt hors d’état de nuire.


Comment bénéficier de la médecine énergétique ?

Pour bénéficier de la médecine énergétique il faut tout d’abord devenir plus conscient que cette dimension existe de façon très concrète. Surtout il est indispensable de se relier explicitement à la dimension supérieure divine et de demander son aide de façon claire. Inutile de courir chez le premier thérapeute qui possède un don quelconque, ou de faire des formations ésotérico-chamaniques. La véritable science énergétique n’est pas accessible à l’être humain, elle relève des compétences et de la volonté supérieure divine. Le Salut au Ciel est une technique simple et efficace que je vous recommande grandement. Vous pourrez voir comment la pratiquer dans cette vidéo : https://youtu.be/quX3DB-8800.

Elle vous permettra de développer votre lien avec la dimension supérieure et de vous préparer à son intervention comme à celle des plantes. Si vous êtes sincère et déterminé, la réponse ne se fera pas attendre, croyez-moi.


Chirurgie énergétique : abus de confiance et pratiques mensongères

Chaque fois que j’entends une personne dire qu’un thérapeute lui a « enlevé un implant éthérique » ou une entité, voir plusieurs, par l’imposition des mains ou en ayant recours à quelque phrase et gestuelle pseudo-magique, je déplore de tels aberrations. Car il s’agit bien de contrefaçon. Le seul moyen valable de retirer un implant éthérique est de procéder à une intervention chirurgicale sur le corps énergétique. Non pas en imagination mais de façon concrète. Celle-ci est pratiquée par des médecins qualifiés qui évoluent dans le plan astral supérieur (la dimension divine), et possèdent une science énergétique extrêmement pointue. Car il n’y a pas que notre monde qui soit doté de médecins et de scientifiques ! Cela fait 11 ans que j’ai été initiée à la science énergétique et les nombreuses expériences et rencontres que j’en ai m’ont données à voir que nos sciences terrestres sont hélas extrêmement limitées et prétentieuses. En comparaison, je dirais que nous en sommes au Moyen-Age et encore, j’ai peut-être plus de respect pour la médecine qui était pratiquée au Moyen-âge que pour la médecine actuelle.

Iori

1 – L’Iboga est un arbuste sacré qui pousse en Afrique, en particulier au Gabon et au Cameroun. L’écorce de ses racines est utilisée dans les rites initiatiques (Bwiti notamment). Les plantes chamaniques sont visionnaires, guérisseuses et initiatiques. Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire notre article Les plantes chamaniques : le langage secret des dieux

2 – L’endoscopie ou fibroscopie est une méthode d’exploration visuelle médicale ou industrielle de l’intérieur (endon en grec) d’une cavité inaccessible à l’œil. L’instrument utilisé, appelé endoscope ou fibroscope, est composé d’un tube optique muni d’un système d’éclairage. Lorsqu’il est couplé à une caméra vidéo, il peut retransmettre l’image sur un écran. Source : Wikipédia

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