Sa vie durant le Christ a combattu l’Ombre et finalement rencontré la Vérité et la joie de l’âme. Victorieux, il est revenu au monde délivrer un message de paix et d’amour. L’Eglise a pourtant choisi de retenir de lui comme symbole un corps meurtri, ensanglanté et cadavérique cloué sur une croix sinistre. Pourquoi ce choix ? Nous avons notre petite idée.
Le monde chrétien dont nombre d’entre nous sommes issus (catholiques, orthodoxes et protestants confondus), a une même origine. Nous sommes issus d’un même mythe, d’un même homme : Jésus. Cet homme est notre modèle, ou du moins l’a-t-il été.
Mais voilà que ce dernier, prophète en son temps, s’est vu crucifié. Cloué sur une croix et mis à mort, il a ensuite ressuscité, dit-on.
Nous vous proposons à présent une analogie saisissante : la crucifixion du Christ ressemble étrangement à un acte sorcier, qui transforme Jésus en poupée vaudou.
Et ce n’est peut-être pas le hasard si l’Eglise a choisi de retenir du Christ ce symbole pour l’exhiber devant tous les fidèles du monde entier.
Si notre civilisation s’est bâtie sur un tel acte (ne portons-nous pas une croix autour du cou?), que dire alors des retombées sur la psyché humaine ? Quelles conséquences sur notre vie d’Homme et de chrétien ? Est-ce là un acte volontaire pour engourdir les masses, leur inspirer une vocation pour la souffrance, les priver de leur liberté originelle et de leur accès au monde divin ? Quel impact sur nos millions de vies a eu le sacrifice du fils de Dieu ?
Que dire encore de l’exhibition de sa « défaite » (plutôt que de sa gloire) dans chaque église depuis maintenant plus de 2000 ans ?
Ganji et Iori
Chamanisme, Enseignement,
Manipulation, Sorciers, Souffrance
